NUIT BLANCHE a attiré quelques dizaines de milliers de noctambules passionnés dans le quartier des Libertés.
Samedi de 19h à 3h du matin, performances, opéra, installations insolites et participatives , projets multimédias, projections et autres formes innovantes se sont succédé au Cirque Royal, au Cercle Gaulois, au Vaux-Hall , aux divers parlements ainsi que dans le quartier des Libertés et autour des bassins du Parc de Bruxelles.
Le temps d’une nuit, de la politique à l’économie et à la religion en passant par le pouvoir des mots et aux jeux de pouvoir inhérents aux relations humaines, NUIT BLANCHE et ses projets d’artistes ont passionné les foules qui ont profité de cette occasion unique pour se frotter à l’art contemporain.
Plusieurs projets programmés dans le cadre de cette 15ème édition ont appelé à une réflexion et à une interrogation au-delà de la thématique, notamment en impliquant des écoles à expérimenter le projet de Syada en amont de l’événement. L’artiste Yaccout Kabbaj a accompagné des élèves dans la discussion sur le harcèlement moral et verbal que subissent les femmes.
Cette édition nous a montré que l’on peut interroger, grâce à l’art, des thématiques de sociétés qui nous interpellent tous, tout en restant festif et très créatif, et le public a répondu présent au sein des institutions politiques mêmes telles que la Chambre et le Sénat !
Dans ce parcours, ouvert à tous et gratuit, organisé entièrement par la Ville de Bruxelles, le public s’est notamment enthousiasmé pour « Aria di Potenza » de Krystian lada & Airport Society au Cirque Royal, « HUG » de Verity Standen à l’Institut Balassi, pour des projets très prenants comme «Syada » au Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles ou « Mutumia » au Vaux-Hall dans le Parc. Exile and Tyranny en collaboration avec La Monnaie a ravi le public comme les votes pour les 100 plenary sessions à la Chambre.
NUIT BLANCHE pour tous a développé un programme d’accessibilité qui aura bénéficié à tous les publics : des médiateurs culturels ont levé le voile sur différents processus créatifs , une radio participative a émi toute la nuit, et pour la 6ème édition consécutive, l’événement s’ouvre en particulier aux personnes à mobilité réduite et malvoyantes.
Les dizaines de milliers de noctambules de la Nuit Blanche ont pu regagner les 4 coins de la capitale grâce à la collaboration avec la STIB. Comme chaque année le réseau NOCTIS était gratuit jusqu’à 3 du matin, permettant aux visiteurs de circuler aisément dans la ville.
Samedi de 19h à 3h du matin, performances, opéra, installations insolites et participatives , projets multimédias, projections et autres formes innovantes se sont succédé au Cirque Royal, au Cercle Gaulois, au Vaux-Hall , aux divers parlements ainsi que dans le quartier des Libertés et autour des bassins du Parc de Bruxelles.
Le temps d’une nuit, de la politique à l’économie et à la religion en passant par le pouvoir des mots et aux jeux de pouvoir inhérents aux relations humaines, NUIT BLANCHE et ses projets d’artistes ont passionné les foules qui ont profité de cette occasion unique pour se frotter à l’art contemporain.
Plusieurs projets programmés dans le cadre de cette 15ème édition ont appelé à une réflexion et à une interrogation au-delà de la thématique, notamment en impliquant des écoles à expérimenter le projet de Syada en amont de l’événement. L’artiste Yaccout Kabbaj a accompagné des élèves dans la discussion sur le harcèlement moral et verbal que subissent les femmes.
Cette édition nous a montré que l’on peut interroger, grâce à l’art, des thématiques de sociétés qui nous interpellent tous, tout en restant festif et très créatif, et le public a répondu présent au sein des institutions politiques mêmes telles que la Chambre et le Sénat !
Dans ce parcours, ouvert à tous et gratuit, organisé entièrement par la Ville de Bruxelles, le public s’est notamment enthousiasmé pour « Aria di Potenza » de Krystian lada & Airport Society au Cirque Royal, « HUG » de Verity Standen à l’Institut Balassi, pour des projets très prenants comme «Syada » au Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles ou « Mutumia » au Vaux-Hall dans le Parc. Exile and Tyranny en collaboration avec La Monnaie a ravi le public comme les votes pour les 100 plenary sessions à la Chambre.
NUIT BLANCHE pour tous a développé un programme d’accessibilité qui aura bénéficié à tous les publics : des médiateurs culturels ont levé le voile sur différents processus créatifs , une radio participative a émi toute la nuit, et pour la 6ème édition consécutive, l’événement s’ouvre en particulier aux personnes à mobilité réduite et malvoyantes.
Les dizaines de milliers de noctambules de la Nuit Blanche ont pu regagner les 4 coins de la capitale grâce à la collaboration avec la STIB. Comme chaque année le réseau NOCTIS était gratuit jusqu’à 3 du matin, permettant aux visiteurs de circuler aisément dans la ville.